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Les étudiants

Étudiant en L3 Anthropologie et L2 Sciences Sociales.

Je me suis intéressé à ce projet car il traite indirectement de l'appauvrissement en diversité végétal dans nos modes de culture et ainsi comment on gère un patrimoine en "déclin".

Comment on valorise et revalorise des variétés atypiques?

Comment on les transmet? Quel rôle et implication pour un organisme tel que le CRBA sur ces sujets?

Voulant me réorienter dans des études de biologie et tout simplement par rapport à un raisonnement personnel ce sont des questions qui m'intéressent de traiter.

Marius Bedrossian

Groupe Solaize

Hamidou

Hamid-Ibrahim

Groupe Feyzin

Je suis étudiant en L3 d’Anthropologie et en L2 de Biologie.

J’ai choisi de travailler sur le projet du CRBA parce que j’aimerais m’inscrire dans domaine interdisciplinaire, je ne connaissais pas vraiment l’ethnobotanique et encore moins le monde végétal.

Mais après cette première expérience au premier semestre, j’ai eu un coup de cœur pour le végétal et une révélation dans l’orientation de mon parcours, c’est pourquoi j’ai choisi des cours de biologie végétal au second semestre.

Cette expérience, en plus de m’avoir permis d’expérimenter une anthropologie en dehors des murs de l’université, sera une étape importante dans la construction de mon projet universitaire et plus encore …

Laëtitia Jaga

Groupe Feyzin

Etudiante en 3 ème année d'Anthropologie.

J'ai choisi de travailler en partenariat avec le CRBA, puisque j'ai toujours eu un goût pour le végétal qui a été forgé par mon enfance à la campagne et que je trouvais la thématique originale.

Cette expérience m'a permise de mettre en pratique des théories vues en cours. Mais également de développer une proximité avec mon terrain.

Cela m'a permis d'aimer davantage l'Anthropologie.

Etudiante en 3 ème année d'Anthropologie et en 2 ème année en diplôme d'établissement sur le monde arabe contemporain à Sciences Po Lyon, j'ai choisi de travailler sur le projet du CRBA car l'évolution du traitement du végétal mis en parallèle de l’extension de l'urbanisation et ce notamment en périphérie de la ville de Lyon m'a semblé être un sujet intéressant. 

Au fil de cette année, et des travaux réalisés, j'ai acquis un certain nombre de compétences qui me seront à coup sûr fort utiles pour mes prochaines années d'études en Anthropologie.

Cette enquête fut très enrichissante, j'ai appris beaucoup sur la thématique de notre recherche ainsi qu'en terme de méthodologie.

Camille Laviron

Groupe St-Fons

Charlotte Perrin

Groupe Solaize

Après des études aux Beaux-Arts de Marseille, et une licence de géographie, j'ai choisi de compléter ma formation avec l'Anthropologie.

Je suis étudiant en troisième année de licence d'Anthropologie.

Je m'intéresse particulièrement aux thématiques associées aux pratiques numériques et en ligne.

Le choix de ce partenariat s'est fait par sa proximité aux sciences de la nature qui furent avant l'Anthropologie le parcours que j'avais choisi.

Valentin Pignon

Groupe St-Fons

Aude Raynaud

Groupe Solaize

En troisième année d’Anthropologie, je garde, malgré mon accoutumance à la vie citadine, un profond attrait pour le végétal. Attrait décuplé l’année dernière lors des cours de biologie végétale, lui donnant un peu plus de substance.

C’est pourquoi j’ai choisi de m’impliquer dans le partenariat proposé par le CRBA. Liant l’Anthropologie et le végétal, ce projet me parlait, d’emblée.

Étant étudiante en 5ème année court-métrage à l'École Émile Cohl, je m'intéresse sourtout à la transmisson de l'Anthropologie à travers des différents médias.

J'ai choisi le projet en partenariat avec le CRBA puisque j'avais envie d'apprendre d'avantage sur le végétal. C'était ma première démarche anthropologique en groupe et c'était très formateur. 

J'espère, à travers le blog et les vidéos, réussir à partager le travail effectué pendants cette année.

Melissa Troublé

Groupe Feyzin

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